D'abord, oublions les formalités. Oui, je suis étudiante en master de lettres.
Pendant la journée, j'analyse les passions qui animent les héros de romans.
La fureur, l'amour, le désir interdit... je décortique la mécanique des sentiments. Mais la théorie ne suffit pas.
Le soir, je mets la littérature en pratique. Mon amphithéâtre devient notre ligne confidentielle, et le sujet d'étude... c'est vous. C'est nous.
Car je sais que vous n'êtes pas là pour mon CV, mais pour le chapitre interdit qu'il ne mentionne pas.
Le premier voile qui tombe, c'est celui de l'anonymat.
Donc imaginez mon regard, d'un vert profond où dansent des éclats de noisette. Il ne vous observe pas, il vous lit.
Ainsi il cherche la faille, la curiosité, l'étincelle qui trahit l'envie.
Puis, ma bouche. Un peu boudeuse, juste ce qu'il faut pour vous donner envie de la faire sourire.
Quand elle s'entrouvre sur une moue taquine, c'est une invitation.
D'ailleurs le jeu commence ici, dans ce silence suspendu avant le premier mot, une promesse de déshabiller bien plus que les apparences.
La conversation s'engage, et mon corps entre dans l'histoire. Mes 1m66 ne sont qu'un chiffre, mais la confiance qu'ils portent est une certitude d'une jolie étudiante.
En effet c'est la silhouette d'une femme bien dans sa peau, fière d'une poitrine haute et ferme qui n'est pas une fin en soi, mais le point de départ de l'imagination.
Car voilà mon véritable art, le cœur de notre rencontre : cet effeuillage lent et littéraire.
Ou chaque phrase que nous échangeons est un lacet qui se dénoue.
D'abord votre audace dégrafe une agrafe invisible. Après votre esprit défait un bouton. Puis ma voix n'est pas là pour décrire crûment, mais pour peindre des aquarelles érotiques sur votre esprit.
On commence par effleurer les pensées, on déshabille les fantasmes, on explore les tabous les plus doux... jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
Juste la peau, la vérité du désir, vibrante et exposée.
Je ne suis pas simplement l'étudiante avec une voix au téléphone rose. En fait je suis la gardienne d'un jardin secret, une bibliothécaire de l'interdit qui vous en donne la clé.
Le premier chapitre nous attend. Le premier mot vous appartient.
Serez-vous le héros audacieux de notre histoire ?
Pendant la journée, j'analyse les passions qui animent les héros de romans.
La fureur, l'amour, le désir interdit... je décortique la mécanique des sentiments. Mais la théorie ne suffit pas.
Le soir, je mets la littérature en pratique. Mon amphithéâtre devient notre ligne confidentielle, et le sujet d'étude... c'est vous. C'est nous.
Car je sais que vous n'êtes pas là pour mon CV, mais pour le chapitre interdit qu'il ne mentionne pas.
Le premier voile qui tombe, c'est celui de l'anonymat.
Donc imaginez mon regard, d'un vert profond où dansent des éclats de noisette. Il ne vous observe pas, il vous lit.
Ainsi il cherche la faille, la curiosité, l'étincelle qui trahit l'envie.
Puis, ma bouche. Un peu boudeuse, juste ce qu'il faut pour vous donner envie de la faire sourire.
Quand elle s'entrouvre sur une moue taquine, c'est une invitation.
D'ailleurs le jeu commence ici, dans ce silence suspendu avant le premier mot, une promesse de déshabiller bien plus que les apparences.
La conversation s'engage, et mon corps entre dans l'histoire. Mes 1m66 ne sont qu'un chiffre, mais la confiance qu'ils portent est une certitude d'une jolie étudiante.
En effet c'est la silhouette d'une femme bien dans sa peau, fière d'une poitrine haute et ferme qui n'est pas une fin en soi, mais le point de départ de l'imagination.
Car voilà mon véritable art, le cœur de notre rencontre : cet effeuillage lent et littéraire.
Ou chaque phrase que nous échangeons est un lacet qui se dénoue.
D'abord votre audace dégrafe une agrafe invisible. Après votre esprit défait un bouton. Puis ma voix n'est pas là pour décrire crûment, mais pour peindre des aquarelles érotiques sur votre esprit.
On commence par effleurer les pensées, on déshabille les fantasmes, on explore les tabous les plus doux... jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
Juste la peau, la vérité du désir, vibrante et exposée.
Je ne suis pas simplement l'étudiante avec une voix au téléphone rose. En fait je suis la gardienne d'un jardin secret, une bibliothécaire de l'interdit qui vous en donne la clé.
Le premier chapitre nous attend. Le premier mot vous appartient.
Serez-vous le héros audacieux de notre histoire ?